Decandence-sentimentales

mes pensées

Mercredi 3 novembre 2010 à 19:14

"Il enlève de ses lèvres quelques lambeaux de peaux  tout en les humidifiant, souffle dans ses mains pour les réchauffer et se tait, contraint."

Samedi 9 octobre 2010 à 22:33

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Samedi 9 Octobre.
Une belle journée se présente.
12h30 j'entre dans mon train en direction gare de l'est. Je me pose et petit à petit j'écris le premier couplet et le refrain de notre compo'.
14h00 Le trajet ne fut pas long. 
14h13 J'ai passé la journée en compagnie de ma soeur, ça m'a fait plaisir de la voir. On est passé par nos endroits fétiches et par un starbuck un peu pour célébrer cette réunion.
20h00 Sur le retour, la rencontre inattendue de Gauthier et de François m'a fait chaud au coeur.
21h00 Je reviens dans ma petit ville, calme et silencieuse qui me murmure à l'oreille un refrain surprenant. "Don't let me down" Je l'ai pourtant fredonné en attendant le train mais c'est à l'intérieur de celui-ci qu'il m'a paru le plus approprié... Pensé pour lui. Le seul qui puisse comprendre. Un refrain prononcé entre ses lèvres.



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Lundi 4 octobre 2010 à 20:45

Comme l'ombre d'un spectre incandescent qui vient me hanter, tendrement, telle une caresse envoutante.

Dimanche 12 septembre 2010 à 22:37



Quand est-ce que le conscient prend le pas de l'inconscience?

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Dimanche 12 septembre 2010 à 22:21

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       Tout commença dans un village banale de campagne. Au centre de celui-ci s'élevait une grande école. C'est dans le dernier bâtiment qu'on accueillait  la dernière classe de l'école primaire. Le premier septembre, la rentrée. Rangé deux par deux les élèves montaient l'escalier pour y découvrir leur nouvelle salle. Au milieu du rand un seul visage était figé, le seul qui n'avait pas été torturé par le changement, l'élève qui sur lequel tout les regards semblaient s'effacer. Un enfant peu commun au lourd passé. En effet ce pauvre enfant avait lors d'un accident perdu usage de ses deux mains.Ce n'est pas pour autant qu'il se laissa abattre. D'ailleurs il le prenait plutôt comme une solennel fatalité. A l'école on disait de lui qu'il était studieux pourtant il savait qu'il n'était pas fait pour l'école, il n'aimait pas l'école...
          Non loin d'où il vivait se trouvait une boulangerie où il passait une grande partie de son temps libre à aider le personnel. Depuis tout petit il venait et on l'accueillait toujours de la même manière : avec sourire et chaleur. Ayant pitié de lui le chef-boulanger le laissait rentrer et lui donnait des taches simples pour qu'il se sent utile sans le confronter à son handicap. Au bon d'un moment sans se  rendre compte il lâcha peu à peu l'école, le trajet par convention le plus logique. Mais lui ce qu'il l'intéressait c'était la confection de ses pâtisseries que tout le village aimait. Le temps passa inexorablement et l'enfant eu bientôt l'âge de travailler. Il mûrit longuement son choix et pris l'initiative de demander l'emploie de boulanger auprès du chef. Le visage défait et douloureux celui-ci n'avait pas envisagé qu'il aurait donné à l'enfant l'envie d'exercer ce métier, il savait qu'il était incapable d'effectuer l'intégralité des taches sans l'aide de ses mains. Au grand regret de l'enfant on lui refusa le métier en essayant de le diriger vers d'autres emploies où il aurait sa place. Cependant, lui ce qu'il voulait c'était être boulanger et savoir qu'il devrait continuer sa vie sans avoir pu faire ce qu'il aurait tant aimer lui donnait mal au coeur.

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