Decandence-sentimentales

mes pensées

Lundi 1er février 2010 à 19:50





Je me rappelle encore c'était un dimanche. Gautier qui aime bien regarder des films, ce soir là, s'était posé devant la télé.

Comme un dimanche habituel j'étais un peu surchargé. Je devais me préparer, j'en ai donc vu la moitié, ce film s'intitullait Colision.
Je dirais que c'est un film assez dur avec une certaine franchise et plusieurs histoires entre des personnes d'origines étrangères.
Le sujet ne m'interessait pas plus que ça. C'est le grain de l'image et une certaine provocation que le film dégage qui m'a capté.
Juste à la fin une musique retentit.
 
Elle donnait toute la dimension de ce film. Cette même nuit je ne trouvais pas le sommeil, cette musique me hantait.
Quelque temps après, quelques semaines je dirais, en ayant effectué de nombreuse recherches j'ai retrouvé cette musique.
C'était le 7 mai exactement, l'anniversaire de ma mère, j'ai du l'écouter en boucle et quand l'heure le repas arriva j'ai eu du mal à la quitter...

En fait elle me touche beaucoup, je crois que l'on peut l'interpréter vraiment de manières différentes...

Dimanche 31 janvier 2010 à 22:22

http://decandence-sentimentales.cowblog.fr/images/29012010159.jpg


Ce soir on en a pas parlé. De quoi? Je n'en sais rien.
Je désespère je crois.  


Cette étrange carence ...




Un soir de pleine lune, Quelle heure est-il ?

Samedi 30 janvier 2010 à 18:34

http://decandence-sentimentales.cowblog.fr/images/29012010147.jpg

Le vendredi j'avais l'habitude de m'ennuyer...
Mais ce vendredi, le 29 Janvier était spécial.
La veille, un jeudi difficile n'aurait pas dû arranger la chose.


7h33.
    Cette journée commença par un matin timide.
Un   Provins  Ville-Haute   assez froid.
Sur la route j'écoutais Jean-Batiste parler sur sa théorie d'un humoriste, je l'accompagnais vers la porte du lycée.
Le sol était trempé. Je passe la passerelle seul avec les écouteurs dans les oreilles, les surveillants les avaient bien vu :  je n'étais pas d'humeur et ça se voyait.
Je marche vers la deuxième passerelle menant au couloir des maths, il faisait nuit. Je descends vers le couloir de Physique-chimie, vers les salles 200 . Arrivé en cour Je pose mon portable sur la table, la dernière table, car j'attends.  J'attends un message qui ne pouvait arriver, les trois classes étaient en sport. Deux heures passèrent.

10h06.
    Enfin, les 15 minutes que j'attends le plus le vendredi, les yeux rivés sur la porte du lycée. Au loin un joli point verts clair qui avançait avec pénibilité mais toujours avec un grand sourire... 
Aujourd'hui Estelle m'avait demandé de venir en Latin, j'exécutais. Méghane essayait de finir sa dissertation pendant l'heure, Estelle, elle , essayait de traduire des phrases complexes que Clémentine et sa camarade traduisaient avec aisance.
D'une oreille j'entendais du professeur que l''amour était comparé au feu lors du XVIIème siècle, une image récurrente...
Une chose a pourtant retenu mon attention : la jalousie, la rivalité était les instruments les plus importants dans l'amour. Cela permet de raviver cette passion, disait le prof'...

    La dernière heure de la matinée se passait en français. Aucune copie ramassée, ça devient inquiétant (il est amoureux!).Pendant ce temps d'énormes flocons tombaient mêlés à une pluie sporadique tandis que nous nous mettions à lire un texte de philosophe... Joli cadre.

12h14.

    Le  midi, je n'ai même pas bouché pour une fois mais c'était au détriment d'Emilie. Ensuite une heure amusante de CVL où, pour ne pas changer, j'ai fait mon guignol. "Crêpes and folk,C.A" Ca sonnait bien pour un titre de soirée, non ? (rhétorique)

15h16

    Enfin bon, plus tard une heure de maths, j'ai rien compris. J'ai noté, j'ai rigolé, une heure de maths quoi. Au début de l'heure Quentin était en Larme, Sarah a fait un papier pour le réconforter et toute la classe a laissé un mot gentil. Jolie démonstration de solidarité de la classe, je suis content...

16h06

    Je me dirige vers la porte de Physique, il m'a devancé! ( le bougre!) J'ai perdu...
Bon je le retrouve devant la porte on se dirige vers le Monoprix, on y rencontre Xavier, Anaïs et Amélie. Pour finir on se pose au centre culturel.
On y a discuté accompagné d'un paquet de paille d'or, un paquet de cigarettes russes ( je suis un vrai fumeur ) et d'une seule bouteille d'Ice tea. J'ai beaucoup aimé, s'était simple mais agréable.
Il ne doit être pas loin de 18h20, on chemine vers le stade, le chemin tourne : je le quitte, il ne se retourne pas, Il fait nuit, et la lumière orange des lampadaires est reflétée par un sol miroitant. Arrivé, posté devant l'église, je m'arrête, je regarde puis je souris...

Gautier me ramène.




 rêves...
Des moments qui marquent...
Des regards plus profonds que d'autres

Mercredi 27 janvier 2010 à 20:42

L'homme et la montagne


Un homme qui avait perdu la vue
Marchait sur la montagne tel un berger aux pieds nus.
On l'entendait dire qu'il ne souffrait pas du voyage.
Sur ce même chemin disait-on, personne ne savait mieux voir que lui
Si bien qu'il a été désigné à guider pour le restant de sa vie.
Cette montagne, il avait du plaisir à l'essayer
D'elle il ne racontait que son aisance à la traverser
Un beau jour sur la vallée non loin de faire son intéressant
La démarche gracieuse, le pas facile et confiant
Alors habitué devant ses passants à se présenter comme le guide
Sur un sol tantôt mémorisé on le voyait escalader le vide
Là haut sur le grand rocher l'homme a trébuché
Sur notre sentier aucune raison n'est un bon prétexte à n'importe quelle forme de négligence.

Lundi 25 janvier 2010 à 21:28

http://decandence-sentimentales.cowblog.fr/images/ciel.jpg
Vue de ma coure arrière.

"Papa, dis, il y a quoi au bout du ciel? Il à l'air d'y faire chaud."
- Il y a le soleil qui meurt encore en silence
Freedom is a voice.

<< Tu chauffes ! | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | tu refroidis ! >>

Créer un podcast