Decandence-sentimentales

mes pensées

Mardi 11 mai 2010 à 20:00

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Plus on s'y aventure moins on y voit clair...

J'en suis venu à me dire que la meilleure manière d'avancer est de se poser des questions et non pas laisser à l'affirmation, qui est trop souvent relative, reprendre l'issue, la terminaison d'un tout.
En effet l'angle d'ouverture d'une question apporte davantage ce qui entraine un échange, un dialogue entre ce point d'envol et cette étendue de réponses. J'ai commencé par cette petite introduction afin d'expliquer le motif qui risque d'être retrouvé.


Pour parler de mon état d'esprit je n'ai pas à me plaindre. Je vais très bien, j'ai ce qu'on pourrait appeler une souplesse positive de mon humeur. Un tout accompagné d'un détachement globale, je n'avais pas le temps d'accorder la même pesanteur que j'ai l'habitude de donner à toute choses. Comme à mon habitude je me sens obligé d'observer. D'allonger mon regard sur ceux des autres, les traduire, s'en imprégner..
.

J'ai un sujet qui me vient souvent en tête, un sujet qui n'est pas sans sentiments.
 c'est simple je me demandais :
A quel point les différences de jugement peuvent-elles influencer les trajets qu'opèrent nos relations ?
Comment distinguer les éléments qui prouvent un écart d'ordre morale d'une simple déviation dans la pensée ?
De quelle manière faut-il vivre avec Les différences?
" C'est l'équilibre qui semble le plus raisonnable mais ce sont les extrêmes qui intriguent? " Comment peut se traduire cette image à l'échelle de l'homme ?
Quelles lois faut-il suivre ? 
 

 

Jeudi 4 mars 2010 à 13:10

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Devrait-on tout montrer?
Faut-il tout justifier ?
Et dans ce cas il y a t-il des signes pour le faire ?
Quels sont les enjeux d'une quelconque révélation ?
Peut on appeler le mutisme une forme de prévention?
N'est t-il pas plutôt une paroi fébrile et malhonnête ?
Où se trouve le juste milieu ?


Questions globalisantes.
 

Dimanche 28 février 2010 à 20:00

En vacances on est souvent loin de tout, de vous, de toi.

Samedi 20 février 2010 à 20:17

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Le samedi 20 février.

On avait prévu une réunion au repère : Le Dôme vers midi, au même endroit.
Un repas que l'on pourrait qualifier de familiale; majorité de Croque', pour ne pas changer. Un bonne ambiance, ça fait bizarre de revoir nos ex-terminales, ils ont bien marqué notre seconde, la belle époque. Je suis très content de les revoir...

Ensuite 14h30 un film, je devrais dire un Disney, La princesse et la grenouille, je crois. Une histoire recyclée des contes à l'eau de rose bourrée de clichés et de valeurs morales. Un film pas trop mauvais sauf que je n'ai pas vraiment eu le temps d'accrocher, si je devais être sévère je dirais que l'univers n'est pas assez conséquent pour qu'on puisse s'y introduire convenablement.
J'ai la tête toute pleine d'images, de goûts, de voix, de rires. Je n'arriverai pas à résumer toute la journée à chaud comme ceci.

Vers 17h00 Thomas, Clémentine et moi, nous nous dirigions vers la gare. "Grand machin" partit en premier, j'ai pu discuter avec Clémentine ce fut intéressant, j'aime toujours pouvoir parler avec quelqu'un un peu plus sérieusement qu'à notre habitude.
17h45 " Les deux feignants qui s'étaient assis dans le train juste à la sortie laissaient les portes se fermer doucement." 

Le train

Longueville, arrivé à la gare, je revois une dernière fois Papa panda que je laisse retourner à Paris. Moi je rentre à pied.

La pauvre Margot avec son mal de tête. Elle attendait vraiment ce jour.

Mardi 16 février 2010 à 21:20

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Faut-il toujours un élément perturbateur ?
Un élément déclencheur?
Combien de temps faut-il
attendre?

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