Decandence-sentimentales

mes pensées

Vendredi 4 juin 2010 à 19:45

Considérons qu'à un certain moment donné nous avons tous des envies, émotions, réactions qui divergent. Quand quelqu'un souhaite le partager avec une personne mais que celle-ci ne semble pas être en condition favorable à l'éprouver, quelle est la meilleure manière d'agir?

Faut-il attendre qu'elle soit en condition quitte à ne jamais le lui toucher un mot?
(en sachant qu'en fonction du moment cette chose n'aura pas le même impacte)
Le fait de pousser les choses afin de partager ce sujet est une solution?
Des idées ?


Mardi 1er juin 2010 à 20:10

       C'était un matin paresseux, une matinée de campagne fraîchement éveillée par la rosée. La température y était neutre et la lumière aveuglante. Non loin de là s'étendait un champ. Un champ de coquelicot. Un tapis vermeille aux couleurs éclatantes souligné par ses tiges vertes. Au beau milieu une silhouette se dessine. Un corps, un homme, un homme nu. Sa peau était d'une blancheur alarmante, ses lèvre aussi pâles qu'un quartz rose.
       Sa position frontale laissait supposer qu'il dormait. Une position témoignant d'un naturel si poignant qu'il en devenait provocant. Néanmoins tout prêtait à ce qu'on ne détourne pas le regard, c'est une réalité; il était beau. Un corps qui jonchait ce joli lit fleurit. Ce corps qui se trouvait là sans qu'on en sache la raison. Ce corps qui nous intrigue. Ce corps poignardé au coeur. Un sang d'une blessure qui se confondait aux pétales de la fleur si fragile.  

Vendredi 28 mai 2010 à 17:12



Regarder ailleurs

Mardi 25 mai 2010 à 22:32

Parfois la plume fais des taches
des ratures douloureuses

Au ciel l'aigle silencieux ne se fâche
contemple cette scène qui doit lui être délicieuse

Parlons de l'un d'eux avançant modestement
sans même atteindre l'oeil inquisiteur et figé
qui s'envole amèrement à contre sens

Devenu malade il pensait du temps le remède adapté
pour panser sa plaie voilée de romance

Une triste consolation infectée par les songes
telles des dartres les taches se répandent sur une page presque vierge

Samedi 22 mai 2010 à 14:17

Je voulais marquer le coup.
Le soleil envoie ses regards bienveillants,
L'herbe nous parle. Le printemps se réveille tendrement.
Les pensées au saule ne s'évanouissent pas, c'est un lin très doux.
Ce sont ces sonorités entre terrestre et céleste qui se confronte à toi,
Nous sommes prêt à t'accueillir nouveau mois.

june


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